5 bonnes raisons de passer à l’électrique en 2025

La mobilité urbaine vit un tournant décisif. Alors que les scooters thermiques voient leur place se réduire avec l’essor des Zones à Faibles Émissions (ZFE) et les politiques de transition énergétique, les scooters et motos électriques s’imposent comme l’alternative idéale.
Longtemps victimes d’idées reçues, les deux-roues électriques offrent aujourd’hui puissance, autonomie et confort, sans oublier des avantages financiers indéniables. Si vous hésitez encore, voici 5 bonnes raisons de passer à l’électrique en 2025.

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Rouler en électrique, c’est dire adieu aux pleins d’essence qui plombent le budget. À première vue, le prix d’achat semble moins élevé pour un scooter thermique, mais très rapidement l’investissement dans un scooter électrique se révèle bien plus rentable.

• Achat : De manière générale, les prix des scooters électriques sont plus élevés, mais grâce aux aides disponibles, l’écart se réduit. Par exemple, avec le dispositif parisien Métropole Roule Propre, il est possible de bénéficier jusqu’à 1 400 €.
• Consommation : un scooter électrique consomme en moyenne 0,03 €/km, contre 0,12 €/km pour un scooter thermique. Sur une base de 5 000 km par an, cela représente environ 150 € d’électricité, contre plus de 600 € de carburant pour un thermique (au prix actuel de l’essence).
• Entretien : entre les changements d’huile, les courroies, les bougies et les pots d’échappement, les scooters thermiques demandent un entretien régulier avec des révisions fréquentes et coûteuses. En moyenne, pour un équivalent 125 cm³, une révision simple coûte 130 €. L’électrique se limite essentiellement à la surveillance de la batterie, des pneus et des freins. Résultat : les révisions sont beaucoup moins fréquentes et moins coûteuses. Chez Frison Scooter, le prix moyen d’une révision est de 60 €.
• Stationnement : à Paris, les scooters électriques bénéficient du stationnement gratuit, ce qui évite de payer un abonnement. Une économie supplémentaire pouvant atteindre plusieurs centaines d’euros par an.

Passer à l’électrique, c’est donc un investissement qui s’amortit rapidement et qui garantit des économies durables.

Chaque kilomètre parcouru en électrique est un pas de plus vers une ville plus propre.

• Zéro émission à l’usage : contrairement aux scooters thermiques qui rejettent du CO₂ et des particules fines, l’électrique ne produit aucune émission.
• Réduction du bruit : en ville, en périphérie ou ailleurs, les nuisances sonores des thermiques sont souvent contraignantes pour les riverains. Les scooters électriques améliorent le confort sonore et réduisent les nuisances.
• Durabilité : les batteries modernes, équipées de systèmes BMS (Battery Management System), optimisent leur fonctionnement et leur offrent une durée de vie de plusieurs années. De plus, elles sont reconditionnables en fin de cycle.

En 2025, rouler électrique n’est plus une tendance : c’est un engagement concret pour la planète et pour les générations futures.

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE) se généralisent dans les grandes métropoles françaises : Paris, Lyon, Marseille, Nice… Courant 2025, elles devraient s’étendre à toutes les métropoles de plus de 150 000 habitants dépassant régulièrement les normes de qualité de l’air recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Passer à l’électrique, c’est non seulement contribuer à l’amélioration de la qualité de vie dans les agglomérations, mais aussi anticiper l’avenir en évitant les restrictions de circulation.
Investir dans un deux-roues électrique, c’est :

• Accéder librement aux ZFE sans aucune restriction
• Ne subir aucune contrainte liée à la vignette Crit’Air
• Préparer l’avenir

Les scooters électriques souffrent encore de nombreux clichés : “manque de puissance”, “autonomie limitée”, “recharge contraignante”, etc. Pourtant, les modèles 2025 sont de véritables concentrés de technologie.

Prenons l’exemple de la moto électrique Yadea Keeness :

• Puissance : équivalente 125 cm³, sa vitesse maximale atteint 100 km/h. Sa puissance nominale est de 5,5 kW et monte jusqu’à 11 kW en crête.
• Accélération : un couple instantané et des accélérations franches. Le 0 à 50 km/h est abattu en seulement 4 secondes.
• Autonomie : avec ses deux batteries, elle peut atteindre jusqu’à 140 km selon les conditions. Elle dispose aussi du freinage régénératif et du régulateur de vitesse pour optimiser l’autonomie.
• Recharge : ses batteries amovibles, équipées de poignées de transport, se rechargent facilement à domicile sur une prise classique 220V ou sur borne publique.
• Polyvalence : à l’aise aussi bien en centre-ville qu’en périphérie, avec une vitesse de pointe adaptée aux trajets plus longs.
• Design : un style incisif et sportif associé à une ergonomie haut de gamme.

L’électrique en 2025, c’est la performance d’un thermique, sans bruit, sans pollution, avec des économies et des sensations inédites. Découvrez également la moto sportive de type A2, la Yadea Kemper, capable d’atteindre 160 km/h.

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